alex artzt - artisan serrurier-métallier à roanne
à propos
à propos de moi
Manuel depuis toujours, j’ai d’abord commencé mon aventure professionnelle en tant qu’apprenti mécanicien chez Honda France durant 4 ans. Tel un jeune cuisinier qui fait ses armes dans une maison 3*, j’ai énormément appris dans cette structure. La rigueur, l’organisation et l’excellence faisaient partie de mon quotidien.
J’ai ensuite volé de mes propres ailes et suis devenu mécanicien privé pour divers pilotes de motocross et supercross (Marc Ristori, Benjamin Coisy, Jean-Claude Moussé) et également pour des pilotes de rallye (Guillaume Floirac lors du dernier Paris-Dakar en Afrique, Christophe Meillat pour les rallyes du Maroc et de Tunisie).
Après quelques années d’expériences diverses, j’ai appris le métier de serrurier-métallier. J’ai ainsi pu durant plusieurs années exercer le métier en entreprise. Voulant faire reconnaître mon savoir-faire, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure de passer mon CAP de serrurier-métallier via une VAE (Validation des Acquis d’Expérience). Bien plus qu’une simple étape professionnelle pour moi. C’était un rêve, une passion, un défi, un chemin parsemé d’efforts et d’émotions. Pourquoi ce choix ? Parce que je voulais que mon savoir-faire soit reconnu à sa juste valeur. Je désirais ardemment devenir un vrai artisan, un maître de mon art, et cela ne pouvait se faire qu’à travers l’acquisition de compétences certifiées.
À l’aube de mes 40 ans, j’ai compris que j’avais besoin d’indépendance, un fort désir d’accomplissement et qu’il était temps pour moi de voler de mes propres ailes, et donc de créer mon propre atelier.
Je m’intéresse beaucoup aux techniques de fabrication, je suis curieux et j’ai beaucoup d’intérêt pour l’architecture et le design. Dans mes créations, je souhaite avant tout fabriquer des ensembles harmonieux et pérennes. Je conçois l’intégralité de mes produits avec de l’acier noir.
Alex Artzt - Artisan serrurier-métallier à Roanne
atelier eleven, pourquoi ce nom ?
Il n’est jamais facile de trouver LE nom. Celui qui va être facile à prononcer, écrire, ni trop long ni trop court. Le nom que les gens vont comprendre facilement et qui va bien entendu être pertinent.
Il était évident que le mot « Atelier » ferait partie du nom final. Mais que mettre après ? Je ne voulais pas d’un nom qui me bride dans un seul univers. Je ne voulais pas non plus, de mots trop génériques de l’univers de la métallerie.
Comme dit précédemment, je suis issu de l’industrie de la moto et j’ai notamment travaillé sur la mythique 111 qui a fait les heures de gloire d’Honda. J’ai par la suite également fait de la compétition moto et mes numéros de courses étaient soit le 11 (mes initiales étant le A, 1ère lettre de l’alphabet) soit le 111 (en souvenir de mes années passées chez Honda).
Après mûre réflexion, mon atelier allait s’appeler « Atelier Eleven« . Ce nom reprend à la fois mes initiales en chiffres et mon numéro de course. Le choix de l’écrire en anglais s’est fait tout naturellement car sa prononciation est facile. Le fait de l’écrire en toutes lettres était primordiale pour la prononciation du mot en anglais, mais elle apporte également un côté graphique. En effet, la structure du mot « Eleven » est quasi identique en terme de lettres et de taille que le mot « Atelier ».
Une évidence non ?